jeudi 20 novembre 2014

CORNBREAD, OU PAIN AU MAÏS ( vegan, sans gluten )


Je suis une personne assez discrète. Je peux rester un mois sans donner de mes nouvelles, retranchée dans ma campagne, et avec quasiment aucun contact avec les autres, si ce n'est ma famille, mes amis très proches, les personnes du marché le mercredi matin, ou alors celles que je retrouve pour aller m'entraîner (à l'athlé) dans la forêt. Je ne m'avance pas, je n'ose pas aller vers 'les autres', envoyer un petit message pour demander si tout va bien. Non pas que je n'aime pas "les autres", oh non, mais j'ai très peur d'être ridicule, de paraître un peu 'lourde', et je dois quand même avouer que ne pas être baignée dans la foule toute la journée me fait beaucoup de bien, pour me retrouver, faire un peu le point et faire ce que je veux, quand je veux. Alors que certaines personnes ont besoin des autres, je préfère être autonome.


Je ne suis pas une grande bavarde non plus : je préfère de loin me tenir un peu à l'écart des conversations, sans rien dire, juste écouter. J'aime mieux observer que réagir, et je me sens plus à ma place. Ça peut paraître un peu bizarre, mais je suis beaucoup mieux 'en coulisses' que sur scène, en tant que figurant plutôt qu'acteur principal. Certains peuvent se demander ce que je fais pendant ces moments là... Pour moi, ce que je sais faire le mieux : je rigole un peu, réfléchis trop, retiens énormément - du petit détail à la grande révélation - et souris beaucoup. Sourire, toujours sourire, pour montrer que l'on est quand même là, me si on ne dit rien. Peut être que certains prennent ça pour une attitude un peu hautaine et méprisante, mais il n'en est rien, et c'est justement tout le contraire. Alors je reste là, dans l'ombre, à suivre le fil de la conversation, le sourire accroché aux lèvres et les oreilles grand ouvertes.

Mais malgré cela, et mes ami-e-s le savent bien, je suis toujours là si quelqu'un a besoin de quelque chose, et je sortirai de la pénombre, de ma petite bulle, si je vois que l'un d'eux a besoin d'aide ou, au moins, d'une oreille. Timidité et introversion ne riment pas du tout avec dédain, et, pour moi, un peu d'aide, de soutien et de présence sont les seules choses que je peux et aime offrir, à mon tout petit niveau.


A part cela, j'aime beaucoup partager. Au lycée, j'aimais bien emmener une grosse boite de biscuits lorsqu'on avait quelques heures de trou ou qu'on restait pour travailler. Je préfère de loin les gros gâteaux à couper plutôt que les parts individuelles, et rien que le partage du gâteau a toute son importance, et c'est souvent source de rigolade, de contestations et de précipitation sur celui-ci pour avoir la plus grosse part. Généralement, ça se termine en guerre des miettes, pour picorer le reste du gâteau maintenant disparu.


Ce gâteau-ci est un peu curieux : il n'est pas sucré ni salé, et il se mange aussi bien en dessert qu'à la place du pain. Pour ma part, vous commencez à me connaître, je préfère le manger à la fin du repas ou au goûter, avec un filet de sirop d'érable ou d'une sauce au chocolat, mais il accompagnera parfaitement un Chili sin carne, une ratatouille ou une soupe. Il est également sans gluten, et très rapide à préparer !


Cornbread, ou pain au maïs

Pour un plat d'une trentaine de cm de diamètre

350g de polenta
70 g de farine de sarrasin
70g de farine de riz
3 cc de bicarbonate de soude
2 càs de graines de lin, moulues
1 pincée de sel
4 cs de miel
4 cs d'huile (d'olive, pour moi)
400 mL de lait vg (ou d'eau, ou les deux)
3 càs de vinaigre de cidre

Préchauffer le four à 180°C
Mélanger tous les ingrédients secs.
Ajouter le miel, l'huile et l'eau, mélanger rapidement. Il ne faut pas trop travailler la pâte.
Incorporer le vinaigre de cidre, et verser et aplatir - la pâte est assez sèche - dans un plat huilé et 'fariné' avec de la polenta. (une poêle en fonte pour moi, mais un moule à manqué conviendra parfaitement aussi )
Cuire pendant 45 minutes, ou jusqu'à ce qu'il commence à dorer et que la pointe d'un couteau piqué dedans ressorte sèche.

Manger tiède ou refroidi.

Notes : le miel peut être remplacé par du sirop d'agave, de blé, de riz...
Les farines peuvent être remplacées par de la farine de blé, mais il faudra dans ce cas adapter la quantité de liquide.

Et vous, aimez vous partager ? et quoi ?

24 commentaires :

  1. Merci pour cette recette ! Il me tarde de la tester, et comme à chacun de tes articles, je me régale aussi devant tes belles photos et la poésie de tes mots. Ta poêle en fonte me fait de l'oeil et je suis curieuse de savoir où tu l'as trouvée... Bonne journée à toi et à très bientôt sur ton blog !

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  2. Ton gâteau à l'air très bon, il me tarde d'essayer de le faire moi aussi :) Je me reconnais beaucoup dans ce que tu dit au début de ton article, sur le fait de se sentir bien plus à l'aise "dans l'ombre" et sans beaucoup parler, même au sein d'un groupe d'amis. Je me sens également bien plus dans mon élément quand j'ai du temps seule, pour réfléchir, lire, avoir du temps pour soi en fait... ça ne fait pas pour autant de moi une asociale mais aimer la solitude n'est pas une tare (enfin j'espère!)
    Bonne journée à toi :)

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  3. Un bel article à coeur ouvert. Pour un beau pain au maïs qui me plairait comme toi, en dessert avec un petit quelque chose comme du chocolat pour le sublimer!

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  4. C'est drôle, j'ai presque l'impression de lire une description de mon caractère... je préfère largement jouer les petites mains que d'être sur le devant de la scène, écouter plutôt qu'intervenir...Je suis une grande introvertie, une petite discrète que l'on ne repère pas au premier abord... Et moi aussi je suis devenue la pâtissière attitrée de ma promo; j'aime partager mes recherches et mes découvertes culinaires. C'est d'ailleurs un peu pour cela qu'on a ouvert un blog non? Pour partager tout en restant dans l'ombre...
    Merci pour cette belle recette. Prend bien soin de toi.

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  5. Ton article me fait penser qu'une des choses que je préfère partager, c'est des petits morceaux de silences. Ou alors, quelques notes de musique dérangées par rien d'autres.Et bien sûr, des miettes de repas; parce que quand on ne cuisine que pour soi, ça n'a pas le même goût...
    Et cette recette me fait penser aux Amérindiens, qui savaient si bien cultiver le maïs et pour qui c'était si important dans leur alimentation... Certainement, c'était un ingrédient de partage, alors cette une recette toute à point.
    Alors bon, je passe à la cuisine! ;)

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  6. Je ne le suis peut être pas autant que toi, mais j'apprécie la discrétion et reste en retrait aussi plus souvent en grandissant.
    En tout cas, je partage totalement ton goût pour ce pain au maïs et je garde ta recette bien précieusement :-)

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  7. ALors tu sais que pour moi, c'est très intriguant le cornbread! Je n'en n'ai jamais gouté, je n'ai donc aucune idée de ce à quoi ça ressemble... En tout cas, c'est tentant, y'a que des bonnes choses dedans!!!

    C'est très chouette ce que tu partage avec nous de ta jolie personnalité. Je suis, pour ma part, un peu réservée également, mais je ne pense pas que les gens me prennent pour quelqu'un de hautain, plutôt pour quelqu'un de timide. J'ai besoin de connaitre les gens pour être à l'aise, et... ça demande du temps!

    Merci pour ce joli partage Gaëlle!

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  8. super , je ne connaissais pas se gâteau , ça me tente bien au petit déjeuné ! je me reconnais un peu dans ta description , je suis moi aussi très discrète ,et je ne parle pas beaucoup , je préfère écouter !
    bisous ! merci pour cette article !

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  9. Chère Gaëlle,
    Ton texte m'a touché, car je m'y retrouve beaucoup! Cela en est...troublant! En tout cas, sache que tu écris divinement bien. Tu déroules ta pensée calmement, clairement et ... magnifiquement! Et tes photos... rah! tes photos!! Elles sont splendides, comme toujours! Quant à la texture de ce pain-gâteau un peu hybride, elle à l'air complètement folle!! Et puis, son joli hâle à de quoi (me) séduire!!
    Bref, MERCI!!
    Marie.

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    1. Haha, merci Marie !! Ça ne va pas, non, mais je ne suis pas tout ça ! Je suis loin d'écrire comme tu l'as décrit ! Mais merci beaucoup quand même :-)
      A bientôt !

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  10. Tuerie visuelle et gustative (et littéraire aussi !), du grand Gaëlle... <3 Bisous et merci pour ce beau partage !!

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  11. Peut-être drôle, mais je me retrouve si bien dans ta description...
    Et ton cornbread me rappelle un gâteau que ma grand-mère ukrainienne nous faisait: ni sucré, ni salé, mais tellement bon!
    Merci pour cette belle recette!

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  12. Mmm... Quelle recette ! J'adore les pains de maïs, alors celui-là, tu peux bien penser qu'il est sur ma liste 'à faire' ! (oui, je francise tout ce soir...)

    Ton texte qui en dit plus sur ta personnalité me parle beaucoup.
    Moi, je ne sais pas, je crois que cela dépend beaucoup du contexte. Je me rends compte que je peux donner l'impression d'une grande timidité (et, reconnaissons-le, j'ai une certaine phobie sociale, ou plutôt, je déteste / j'ai peur des foules), mais cette impression m'étonne toujours car, au fond, je ne me sens pas très timide ! (bon, sauf devant les foules, on l'aura compris...) D'ailleurs, je crois que mes ami(e)s me voient parfois comme une drôle d'extravertie, prête à danser sur les tables et se déguiser en punk à chaîne dès que l'occasion se présente.
    Quand je suis allée en Angleterre le mois dernier, j'ai dit à mon prof (qui me connait depuis 6 ans) que j'étais végane et très impliquée dans le mouvement vg en France... il m'a regardée les yeux écarquillés : je crois qu'il me voyait comme une petite fille un peu timide et un peu sage, pas du tout dans un mouvement alternatif qui veut changer le monde ! J'aime bien ce côté double... je me sens un peu comme une comédienne :-)

    PS : avec du sirop d'érable et de la purée d'amande... oh la la !

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    1. Merci Ophélie ! J'espère qu'il te plaira ! :-)
      A bien y réfléchir, ça dépend aussi du contexte pour moi... Si je suis seule avec une personne, que je connais plus ou moins bien, je peux être très bavarde, et je débite des idioties à une vitesse folle... Par contre, dès qu'on est 3 ou plus, je me retire, je me mets derrière et je ne dis plus grand chose. Et puis ça dépend aussi des personnes : quand je suis avec mes amis, ça ne me gêne pas, je raconte toujours les mêmes bêtises... Mais quand ce sont des filles, je ne sais pas pourquoi, je ne dis presque plus rien !
      Bon, et puis mes ami-e-s aussi me voient comme une drôle de personne, avec un crayon dans les cheveux, des vêtements qui sortent parfois un peu de l'ordinaire, et un esprit de contradiction très fort... ;-)
      Et tu m'as fait rire pour ton prof ! C'est exactement la même chose pour moi : dès que je dis que je suis vegan, les gens sautent presque au plafond, je suis certaine que ça les surprendrait moins si je leur disais que je suis la fille de la Reine d'Angleterre... Comme quoi, les véganes ne sont pas tous des bonshommes à dreadlocks (même si j'adoooore les dreads, si j'étais assez courageuse j'en aurais sur le crâne) ou à piercings partout (et j'adoooore les boucles d'oreilles sur le tour de l'oreille, mais quand il n'y en a qu'une seule... Bon, je ne suis pas certaine d'être très claire là )
      Et de la purée d'amandes, oh oui !
      Bisous !

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  13. Outre me donner une envie irrépressible de cornbread là tout de suite maintenant (je l'adore avec... de la confiture de prune, ce joyeux drille. C'est peut-être peu classique, mais je trouve que les deux vont si bien ensemble! Tu sais, la confiture un peu liquide, qui n'a pas parfaitement pris, avec des gros morceaux de prunes dedans... Oh là là, en plus je crois qu'il m'en reste un pot au garage...), tu m'as fait réfléchir sur l'intériorité et l'extériorité.
    Nul doute que beaucoup se retrouveront dans ta description, si jolie, si bien tournée, qui a l'harmonie des textes qui sonnent juste. Moi, je ne sais pas trop. Je me retrouve surtout dans ton ambiguïté entre amour de la solitude et amour du partage. A première vue, oui, évidemment, je suis, pour tous, et pour moi-même, la petite timide, Céline-la-petite-fille aux trop grandes lunettes, l'aînée taciturne, solitaire, tellement, tellement solitaire, depuis toujours. Sauf que.... en grandissant (en vieillissant? ;)) je me rends compte que ce n'est pas si simple. Qu'en fait, j'ai besoin des autres aussi. Qu'alors que j'ai fini les études, trouvé un métier qui me plaît et dans lequel je suis finalement très seule, trouvé un endroit pour vivre qui me plaît mais où je ne connais pas grand monde, cela me convient, évidemment, je m'y retrouve. J'ai l'impression de mener ma barque sans trop regarder sur les côtés. Je me sens protégée par un cocon "à distance". Mais voilà, j'ai quand même besoin de tisser des liens. De montrer aux autres, de près ou de loin, que je pense à eux, qu'ils sont de belles personnes, de leur faire de petits clins d’œil doux. De parler, de cuisine, de livres, de musique, de cinéma, du ciel, d'échanger. De partager.
    Les autres ont souvent du mal à cerner celle que je suis, cette ambiguïté entre timidité affichée et assumée, solitude réclamée, et attention en forme de main tendue vers les autres, la seconde qui suit. Peut-être parce que souvent, les gens sont tout l'un ou tout l'autre. Mais je ne sais pas toi, moi le "tout l'un" me fait aussi peur que le "tout l'autre".
    Dans tous les cas, ce qui est absolument merveilleux, c'est d'avoir trouvé un amoureux mi-intra, mi-extra-verti, intra-extra-ordinaire, qui me comprend, qui est, au moment où je tape ces lignes, en train de chantonner une chanson inventée en mangeant de la brioche maison, en accumulant plein de paroles farfelues. (Une pensée pour le tien qui est quelque part sur terre et qui ne sait pas encore qu'un jour il mangera des cornbreads à tomber par terre....Ce chanceux...)
    Bisous Gaëlle!

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    1. Merci, merci Cél pour ton joli commentaire.
      Je me retrouve aussi dans ce que tu dis... D'accord, j'aime bien être seule quelques temps, mais si je l'étais tout le temps, je ne supporterais pas. L'année, je suis en cours, avec 1000 personnes autour de moi, 35 à 45 personnes avec qui je suis toute la journée... On rigole, on s'amuse, mais les vacances me font quand même beaucoup de bien, je n'aime pas trop être 'collée' aux autres tout le temps. Par contre pendant les vacances, je ne suis jamais vraiment seule, je parle, je partage quand même, avec moins de personnes, c'est tout. Et je suis tout le temps dehors, sur mon vélo, avec une bêche dans la main, en train de faire mille et une choses, et ça m'occupe aussi bien les mains que l'esprit.
      Mais je me rends compte aussi que j'ai beaucoup besoin des autres. Je n'imagine même pas une seconde rester tout, tout le temps seule. Déjà que quand je suis vraiment seule le week-end, presque sans parler (« alors, petite cellule eucaryote, comment va ta membrane plasmique ? Et tes protéines périphériques fixées à un phosphatidylinositol par un oligosaccharide de liaison se portent bien ? » je te laisse imaginer la conversation... ) c'est assez pesant. J'ai besoin des autres, oui, j'ai besoin d'échanger avec eux, de parler, de rigoler, et c'est là que c'est assez bizarre : quand je suis seule, je veux du bruit, de l'agitation et quand je suis entourée de monde, j'aimerais avoir du calme... Ou c'est moi qui suis étrange ? (ça ne m'étonnerait pas tant que ça en fait ;-) )
      Donc je te comprends parfaitement, et je vois très bien ce dont tu veux parler. En tout cas, pour ce qui est du partage et des surprises, tu es la reine <3
      Et ton amoureux est terriblement chanceux d'être avec une si merveilleuse personne, comme tu as de la chance de l'avoir rencontré. Tu m'as fait bien sourire :-)
      Ah, et avec de confiture, oui ! Je ne suis pas trop confiote, un peu trop sucré pour moi, mais pourquoi pas ! Et oui, je vois parfaitement de quel type de confiture tu parles (d'ailleurs, généralement, quand on fait des confitures, ma mère et moi nous partageons la tâche : elle c'est une confiture toute lisse, bien mixée et tout, et la mienne avec plein de gros morceaux parce que comme ça, les rares fois où j'en mange, j'ai l'impression de manger des 'vrais' fruits. Et mes préférées sont celles de cerises aigres et 'prunes à cochon' – des petites prunes sauvages qui ressemblent à des mirabelles, que nos grands-grands parents donnaient aux cochons, ces fous ! – car un peu acides et le sucré ressort moins :-) )
      Plein de bisous !

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  14. Aïe, aïe, aïe, je crains que là, cette fois ci, il va falloir que je m'y mette à tâter de la polenta, parce qu'un gâteau pareil ce serait dommage de ne pas tenter !
    De mon côté, je fais partie des introvertis, sauf que personne ne me croit parce que j'ai tendance à parler avec plein de gens. Je peux rester des mois à penser aux personnes qui me sont chères et à pourtant ne pas donner de nouvelles, de peur de déranger. Et puis comme je fais un métier où je côtoie beaucoup de monde, parfois ça m'épuise tous ces gens, alors j'ai besoin de rentrer dans ma coquille, de recharger les batteries.
    Oh bien sûr je suis contente de voir les gens que j'aime, de tisser des liens (en vrai, sur le blog, tout ça), mais j'ai régulièrement besoin d'être dans mon coin, sinon je sature.
    Enfin c'est très compliqué chez histoires d'intra/extra-verti, parce que finalement ça fluctue en fonction de la vie, des périodes, de qui est en face, tout ça.
    Mais peut être que je vais nouer une grande amitié avec le cornbread : on se connait pas encore lui et moi, mais je pense que ça pourrait marcher comme histoire :-)
    Bon week end Gaëlle !

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  15. Tes photos parlent pour toi en tous cas: tout transpire la générosité! Bravo pour ce bel article. Il faut que je remplisse mes placards avec plein de farines en tout genre pour me lancer.
    Bonne semaine!

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  16. MERCI a vous pour ce moment de lecture de vos post surtout ne changer rien je dois aller faire des courses demain et je vais passer une partie de l'après midi a la cuisine, depuis que je suis végétalienne je passe beaucoup de temps aux fourneaux et J'ADORE ça, je découvre je teste je me sers de mes collègues comme goûteurs à priori cela ne leur déplaît pas la semaine dernière mon responsable de service m'a fait remarquer que cela faisait longtemps que je n'avais rien amené. je vais y remédier -je suis végétalienne depuis plus de 6 mois et avec une intolérance au gluten il y a des quart d'heure où faire les courses devient un marathon

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  17. Bonjour Gaëlle, Merci pour cette belle recette qui me tente beaucoup!
    Cependant, penses-tu qu'il soit possible de remplacer la polenta, que je n'ai pas, par de la farine de maïs, dont je ne sais que faire ?
    Merci et belle journée!

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  18. j'ai testé c'est super bon Merci !

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  19. Peut-il être préparé le soir pour le petit déjeuner ou il se conserve mal ??

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